La Barbade est une destination exotique au riche patrimoine historique qui propose une large variété de sports et d’activités. Découvrez des paysages naturels spectaculaires et très variés. Chaque région de l’île vit à son propre rythme et propose des activités qui raviront les amoureux de la nature, les amateurs de sorties en clubs ou les aventuriers. Envolez-vous vers la Barbade et partez à la découverte de ses cavernes profondes, de ses forêts peuplées de singes, de ses plages de sable blanc et de ses eaux cristallines.
Quand partir à La Barbade ?
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Saison sèche ou « carême »
La période sèche, qui correspond à la haute saison, s’étend grosso modo de décembre à avril, et en particulier de février à avril.
Ensoleillée, la Barbade affiche près de 3 000h de soleil par an ! Dans la pratique, on peut toujours compter sur 8 à 9h d’ensoleillement quotidien, quelle que soit la période de l’année.
Si les températures oscillent entre 21 °C et 31 °C toute l’année, pendant la saison sèche, elles sont chaudes mais sans excès. Les alizés venus du nord-est tempèrent la température tropicale.
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Saison des pluies
La saison des pluies, appelée « carême », s’étend d’avril-mai à novembre-décembre. Il fait chaud et humide. La côte au vent (côte Est ou atlantique) est plus arrosée que la côte sous le vent (côte Ouest ou caraïbe). C’est en octobre qu’il pleut le plus, sous forme d’averses brèves mais violentes.
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Rares cyclones
Cependant, la Barbade est rarement frappée par les cyclones. Ils passent généralement plus à l’est et plus au nord. Le dernier épisode véritablement destructeur remonte à 1955. La plupart des ouragans surviennent entre début juin et fin novembre, mais surtout d’août à octobre. Aux Antilles, cette saison des pluies est appelée « hivernage ».
Les pluies sont plus fréquentes, mais elles se concentrent surtout en fin d’après-midi, sous forme d’ondées courtes et intenses (on parle d’avalasses dans les Antilles françaises). Les précipitations sont un peu plus denses à l’intérieur de l’île que sur les côtes.
Informations générales
Capitale : Bridgetown
Langue : L’anglais bien sûr, mais les Bajans, entre eux, parlent le bajan… un créole issu de l’anglais. Bajan est d’ailleurs un mot typiquement créole, tiré des deux dernières syllabes de Bar-ba-dian. Ici, les « th » ont vite fait de ressembler à des « d » ou à des « t »… Plus facile pour un francophone, non ?
Décalage horaire : GMT/UTC – 4h
Formalités d’entrée : Passeport en cours de validité pendant la durée du séjour; billet de retour ou de continuation. Le séjour autorisé est généralement de 28 jours.
Santé : Aucun vaccin n’est obligatoire pour aller à la Jamaïque mais il est recommandé de mettre à jour son vaccin diphtérie-tétanos-poliomyélite et hépatites A et B.
Électricité : La norme est de 110 V, 50 cycles, comme aux États-Unis. Les prises sont de type américain, à deux broches plates verticales (parfois avec une 3e broche ronde). Pensez à emporter un adaptateur, voire un transformateur si cela est nécessaire. Il y a parfois des coupures d’électricité (d’eau aussi, d’ailleurs).
Argent : Le dollar de la Barbade (B$ ou BBD) est divisé en 100 cents.
Il existe des billets de 2, 5, 10, 20, 50 et 100 B$, des pièces de 1, 5, 10, 25 cents et 1 dollar.
Partez avec des dollars américains et/ou retirez du liquide dans les distributeurs : on en trouve dans toutes les banques de Bridgetown, à l’aéroport, etc. Beaucoup de commerçants acceptent les dollars US (hôtels, certains magasins…), mais le taux de change peut être moins favorable et la monnaie vous sera généralement rendue en dollars de la Barbade.
Environnement
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Falaises et grottes
En forme de poire, la Barbade est une île relativement plate, s’élevant tout au plus à 336 m au mont Hillaby, dans le centre des terres.
Rien de spectaculaire donc, même si les côtes est et nord sont soulignées par endroits de falaises battues par la houle atlantique. Sédimentaire, l’île est trouée de nombreuses grottes, à l’image de la fameuse Harrison’s Cave. Les eaux de pluie s’infiltrent dans des systèmes souterrains et les rivières sont peu nombreuses en surface.
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Culture et Travail de la terre
Cela n’empêche pas le tiers de l’île d’être cultivé. La canne à sucre, qui fit les beaux jours de l’économie barbadienne, est toutefois en fort déclin. Les coûts de production sont désormais supérieurs aux cours mondiaux et l’industrie ne survit plus que grâce aux produits spécialisés : sucres « de luxe », molasses pour le rhum (3 distilleries) et matière première pour le développement d’une production d’électricité à base de biomasse.
Gastronomie
Deux mondes vivent en parallèle. Les Bajans vont de snackette (snack-bar caribéen) en fish fry (fish & chips, frites, coleslaw), tandis que les touristes fréquentent surtout les restos chics des stations balnéaires et des hôtels. Les premiers sont aussi abordables que les seconds sont hors de prix. Seul véritable point commun : la présence de poisson frais et de fruits exotiques. Pour le reste, tout ou presque diffère.
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En-cas
Un simple en-cas ? Les Bajans ont adapté certains classiques anglais, comme les fish goujons (flying fish & chips). Ils ont aussi adopté deux classiques indiens : les rotis, des sortes de falafels fourrés de toutes sortes de choses au curry, et les samoussas, ces beignets triangulaires garnis de pommes de terre, légumes et/ou viande.
Dans les snackettes, on trouve généralement poulet grillé au barbecue, hot-dogs et pizzas. Certains fast-foods américains sont bien implantés, à l’image de Kentucky Fried Chicken, dont le poulet (de batterie) trouve beaucoup d’amateurs par ici…
Mentionnons aussi les cutters, des sandwichs dans des petits pains ronds (salt bread), garnis de jambon, poisson volant, œufs au plat, fromage, ragoût, etc.
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Plats
Pour débuter un repas, vous pouvez miser sur les Bajan fish cakes, des accras de morue, servis avec une sauce épicée. Le plat national est le poisson volant accompagné de cou-cou. Qu’est-ce que ce drôle d’oiseau ? Une mixture de polenta et de gombos (okras), des légumes d’origine africaine servant de base à de multiples ragoûts. Ils deviennent gluants en cuisant. Le poisson, lui, est préparé dans une sauce tomate avec oignon, échalote, ail et herbes diverses. Le cou-cou peut aussi être préparé à base de bananes plantains ou de fruits de l’arbre à pain.
Autre classique, le saltfish buljol est un plat originaire de Trinidad qui incorpore morue, tomates et oignons. On mange aussi de l’espadon, du barracuda, du thon, du vivaneau (red snapper), de la saupe (chub), du thazard bâtard (kingfish) et du dolphin fish. Non, ce n’est pas du dauphin, mais le mahimahi, également appelé daurade coryphène.
Vous trouverez aussi de la langouste (généralement importée des îles voisines), du crabe, des conques (frites), du sea cat (poulpe !), des sea eggs (oursins), des crevettes – en croûte de coco, ou peut-être même dans une gelée au poivre, à l’anglaise. N’oubliez pas que la tendance est épicée !
Le vendredi soir, ne ratez pas le grand fish fry d’Oistins : poisson frais grillé au barbecue dans une ambiance festive. Ensuite, on danse.
Ceux qui n’aiment pas le poisson devront se rabattre sur des plats d’inspiration plus british, type rôti de porc (au chou fleur), roast-beef (aux patates), ragoût de queue de bœuf ou l’inénarrable agneau à la menthe (si, si, on en trouve encore). En accompagnement viennent rice & peas (riz et petits pois) aromatisés au lait de coco, tarte à la patate douce ou à l’igname, pommes de terre au four, purée, incontournable macaroni pie et autres légèretés inspirées des traditions d’outre-Manche.
Les influences indiennes sont aussi notables : outre les rotis et samoussas, on croise fréquemment poulet au curry, tandooris et biryanis.
Plus local, il y a le pepper pot, en fait une recette d’origine amérindienne (Guyana) préparée dans la plupart des îles anglophones des Antilles. C’est une sorte de ragoût de porc, éventuellement de bœuf, mouton ou poulet, baignant dans une sauce sombre à base de cassave, de piments et de cannelle.
Le samedi, repérez les panneaux et prenez le risque de tester un pudding and souse, un pudding de patate douce accompagné d’une sorte de pâté de bas morceaux de porc (tête, pieds et queue en général !).
Ce que vous mangerez dans les grands restos n’a pas grand-chose à voir avec tout cela. Vous y trouverez cuisine internationale et cuisine fusion, aux influences plus souvent asiatiques ou indiennes qu’anglaises et bajans. Le choix est vaste et la qualité au rendez-vous, mais bonjour les prix…
Si vous sortez dîner le soir, n’oubliez pas de vous habiller un peu classe – ni jeans ni tennis, this is British land !
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Boissons
Une bonne pinte de British stout accompagne souvent le repas, à moins que l’on préfère les blondes aux brunes… Dans ce cas, c’est une Banks locale qu’il faut commander – sans oublier de passer à la caisse.
À l’apéro, c’est bière ou rhum ? Le Mount Gay, distillé à la Barbade depuis 1703, est un des plus vieux élixirs du monde… Le rhum blanc fait les innombrables cocktails, mêlé à divers jus de fruits, le rhum vieux se déguste seul, à sa juste valeur.
Et si vous fuyez les degrés sur la bouteille, essayez donc le mauby, une décoction rappelant la root beer américaine, tirée de l’écorce d’un arbuste.
Les incontournables
Se promener sur les palaces flottants du luxueux Port Saint Charles. Voyager dans le XIXe siècle colonial en visitant les plantations Sunbury ou Francia, domaine splendide bâti par un colon français en l’honneur d’une Barbadienne. Déguster le flying fish (poisson-volant), mets national emblématique, représenté sur les pièces de monnaie. Marcher les 18 m de tour du baobab du Queen’s Park à Bridgetown, vieux de 1000 ans. S’aventurer dans les grottes d’Harrison, avec ses eaux qui bruissent, ses piscines naturelles et ses colonnes de pierre. Visiter la distillerie Mount Gay de Bridgetown, et découvrir l’histoire du rhum barbadais, production nationale depuis 370 ans, indissociable de l’histoire de l’île.
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Bridgetown
Capitale aux airs anglais et à l’esprit festif, toujours marquée par son passé colonial lié à la culture de la canne à sucre.
Commençons par le commencement : Bridgetown n’est pas vraiment passionnante et ceux qui connaissent d’autres capitales antillaises lui trouveront même une certaine fadeur derrière ses faux airs à l’anglaise. Seul édifice vraiment digne d’intérêt : le Parlement néo-gothique de 1860 (fort bien restauré). Il occupe le flanc nord du Carénage, le port qui a vu grandir la ville, face à la statue de l’amiral Nelson. On ne parle plus comme jadis de Trafalgar Square, mais de la place des Héros nationaux… Pas aussi fun, quand même.
La synagogue de Bridgetown a été méticuleusement restaurée et est ouverte à la visite. Elle a été fondée en 1654 par des planteurs juifs venus du Brésil. À part cela, Broad Street a perdu tout son charme depuis que les magasins pour croisiéristes l’ont investie avec leurs diamants, émeraudes et autres biens de consommation standardisés.
Parmi les escales favorites figurent aussi le Mount Gay Visitor Center : le rhum maison est l’un des plus anciens et des meilleurs des Antilles mais, soyons francs, l’entrée est chère, la zone industrielle morose et on ne voit pas grand-chose d’intéressant. Quand on pense que la plupart des distilleries antillaises ouvrent leurs portes gratuitement…
À la sortie de la ville (direction Oistins), le National Museum (pas inintéressant) voisine avec le George Washington House & Museum, dont les peintures sont encore fraîches. Le futur président américain, alors âgé de 19 ans, y résida avec son frère durant 2 mois, en 1751 – le seul voyage de toute sa vie !
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Holetown
A voir : Dans le village, l’église Saint-James et ses fonts baptismaux du XVIIe siècle ; les boutiques d’artisanat de Chattel Village ; son festival
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Oistins
Tranquille village de pêcheurs qui s’enflamme, le soir venu, à coup de parties de dominos et de fried fish
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Saint James
Sur la côte paradisiaque de l’île (la côte caraïbe), superbe ville côtière de plus en plus prisée ; sa région surnommée Gold ou Platinium Coast
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Saint Peter
Entre détente nautique et balade à Port Saint Charles ; la plantation Saint Nicholas Abbey, manoir anglais, l’un des derniers manoirs jacobins d’Amérique
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Bathsheba
Jardins botaniques d’Andromède, paysages écorchés par les vagues de l’océan ; Soup Bowl, ses vagues et ses surfeurs : un bel aperçu de l’Atlantique sauvage barbadien
Sports et activités
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Côté mer
Avancée dans l’Atlantique, la Barbade est l’une des îles antillaises qui se prêtent le mieux à la pratique du surf.
Le spot de référence, c’est le Soup Bowl, à Bathsheba, sur la côte nord-est, « l’un des 3 meilleurs au monde », dixit l’inébranlable Kelly Slater, neuf fois champion du monde de la discipline. Les bons jours, des breaks de 5 à 6 m s’y forment. Mais attention à la sortie : Soup Bowl n’a pas volé son nom et a vite fait de tout mixer, vagues, surfeurs, corail et fonds tapissés d’oursins…
En tout, l’île compte quelque 35 spots, dont certains autrement plus abordables aux débutants. Plusieurs écoles de surf proposent d’ailleurs des cours, simple initiation de 2h, ou « garantie » de vous tenir sur la planche en 2 ou 3 jours.
Les adeptes du kitesurf, quant à eux, se retrouvent plutôt à Silver Sands (Christ Church). Au programme : jumps de 9-10 m lorsque les conditions sont au top ! Location de matos possible sur place.
Les alizés se prêtent à la pratique de nombreux sports nautiques, à commencer par la voile (location et nombreuses excursions en tous genres) et la planche à voile.
Un simple masque sur le nez et un tuba suffisent pour faire du snorkelling, aller à la rencontrer des tortues carets et des poissons des récifs. Le principal récif encercle plus ou moins l’île entre 800 m et 3 km au large. D’autres, plus petits, soulignent le littoral ouest ; ce sont les plus beaux, où l’on observe poissons-perroquets, murènes, hippocampes, barracudas, raies et autres poissons-crapauds – comme Maycocks Bay, Dottins Reef et le mal-nommé Shark Bank.
La plongée avec bouteilles permet aussi d’explorer bon nombre d’épaves. Celle du cargo Stavronikita a été coulée dans le Folkestone Marine Park (côte ouest) pour former un récif artificiel, par 20 à 30 m de fond. Mais c’est en baie de Carlisle que l’on voit le plus d’épaves : il y en aurait près de 200 répertoriées ! La visibilité s’étend habituellement entre 10 m et 20 m.
Pour finir la panoplie des activités marines, mentionnons la pêche au gros. Parmi les prises les plus appréciées : barracuda, marlin, mahimahi (dolphin), thon et thazard-bâtard (wahoo). Les fishing charters sont nombreux.
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Côté terre
L’héritage anglais est ici bien vivant. À travers le golf d’abord. La Barbade ne compte pas moins de six 18-trous et trois 9-trous. Parmi eux, le Green Monkey Course, réputé comme étant l’un des plus beaux des Antilles, et le Country Club… où Tiger Woods a convolé en 2004. Si ça, ce n’est pas une référence…
L’équitation est aussi très prisée. Outre les courses organisées à Garrison Savannah (dont la Sandy Lane Gold Cup, le prix de l’Arc de Triomphe local), le polo est souvent à la une. On trouve plus de 300 chevaux entraînés à cette discipline sur l’île. Bien entendu, tout cela est très élitiste, mais on peut assister à des tournois chaque année à partir de décembre.
Hike Barbados organise des promenades guidées gratuites (donation appréciée), plus ou moins ardues, de 8 à 19 km, en coopération avec le National Trust. Départs tôt le matin (vers 6h) et dans l’après-midi (15h30). Pour les marcheurs noctambules et ceux qui dorment debout, il y a même des moon hikes.
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Cricket à la Barbade
Introduit à la Barbade par les Anglais à la fin du XIXe siècle, le cricket était à l’origine réservé aux colons. Il se diffusa peu à peu dans le reste de la société, mais chaque classe sociale et « raciale » possédait sa propre équipe. Les Wanderers et les Pickwicks représentaient la classe moyenne supérieure blanche et les fonctionnaires de Sa Majesté en poste sur l’île ; les Carlton et YMPC incarnaient quant à eux la classe moyenne inférieure et les travailleurs blancs. Le premier club noir fut celui des Spartans.
Le cricket local a donné plusieurs grands joueurs, à commencer par les « 3 W », tous trois anoblis pour leur activité sportive – Sir Frank Worrell (1er capitaine noir de l’équipe des Petites Antilles), Sir Everton Weekes et Sir Clyde Walcott. Autre « chevalier » du cricket, Garfield (Gary) Sobers est un véritable héros national. Il est considéré par les spécialistes comme le meilleur all-rounder de tous les temps. En gros, un joueur polyvalent qui pouvait aussi bien être lanceur que batteur.
Mentionnons aussi Charlie Griffith, si puissant qu’il fractura un jour le crâne d’un receveur (!) et Wes Hall, devenu ministre des Sports… et pasteur. C’est lui qui a obtenu l’organisation à la Barbade et dans d’autres îles antillaises de la Coupe du monde 2007.
Si vous souhaitez assister à un match, rendez-vous au Kensington Oval. On peut visiter, à deux pas, le Legends of Barbados Cricket Museum. Preuve, s’il en fallait, de l’importance donnée à ce sport sur l’île !
©https://www.routard.com/guide/code_dest/barbade.htm
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